1992 Dodge Viper
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Year of manufacture1992
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Chassis number1B3BR65E4NV100281
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Lot number517
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Reference number27987_517
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ConditionUsed
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Location
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Exterior colourOther
Description
1992 Dodge Viper RT/10 Roadster
Chassis no. 1B3BR65E4NV100281
That a major US manufacturer could come up with such an exciting concept car was startling enough, but Chrysler's decision to put the Viper into production was nothing short of astonishing. Inspired, as its name suggests, by the legendary Cobra, Tom Gale's design study made its auto-show debut in 1989 following discussions between Chrysler boss Bob Lutz and Cobra-creator Carroll Shelby, its appearance triggering an avalanche of deposit cheques. Without doubt, a large part of the Viper's 'back to basics' appeal stemmed from its unique selling point: a massively powerful 8-litre V10 engine. The latter had been born out of the requirement for a larger unit to power the Dodge Ram pickup truck, the prototype being created simply by grafting two extra cylinders on to the Ram's existing 5.9-litre V8. Despite being relatively 'low-tech', the Lamborghini-developed pushrod V10 churned out 400bhp and a brutal 450lb/ft of torque at a lowly 3,600rpm, figures which the 3,280lb Viper translated - via a six-speed manual gearbox - into a 0-100 km/h time of 4.7 seconds and a top speed of 265 km/h.
Early Vipers lack modern driver aids such as traction control and anti-lock brakes. The car also has no exterior-mounted door handles or key locks, and instead, entry is done by unzipping a vinyl window to reach the interior door release handle (when the canvas/hard top is in place). No air conditioning was installed on the car (the option for A/C was added in later 1994 models). There were also no airbags for weight reduction. The roof was made from canvas, and the windows were made from vinyl and used zippers to open and close. Despite this lack of features, the car still had some features in order for it to be tolerable as a daily driving car, such as manually-adjustable seats with lumbar support, an AM/FM stereo player, a clock, and carpeting.
Only 285 of these very early Vipers were built and are the most desirable of all RT/10's.
Luigi Cimarosti a Belgian race team owner was the first to see the Vipers racing potential and developed an early RT/10 for long distance racing. To their own surprise the team won the GT1 class at Le Mans in 1994 triggering Chrysler HQ in Detroit to develop a racing version of the RT/10's successor, the GTS-R.
Originally sold in Canada to a Belgian/Canadian businessman, this very early Viper roadster was kept, unused, in his private collection and had covered a mere 100 kilometres when it was sold in 2018. The car is presented in effectively 'as new' condition having covered only some 120 kilometres since it left the factory. Finished in red with grey leather interior, this beautiful Viper comes complete with its original weather equipment and all books and tools. The car comes with Belgian 'Oldtimer' registration and all its original documents. In view of age, the model now appeals even more to EU-buyers (who no longer have to pay expensive road tax) as well as US-collectors, an interesting opportunity indeed.
Even today, some 30 years after its introduction, the Viper still looks stunningly fresh and modern. Representing a rare opportunity to acquire an unused example of one of the most exciting sports cars of recent decades, this quite exceptional car would enhance any private collection.
Please note that as this car has less than 6,000 kilometres recorded on the odometer, it is considered to be a New Means of Transport under EU law and will incur a VAT liability if sold to an EU country other than Belgium. The current French VAT rate of 20% will be applied on the hammer price.
Seulement 120 kilomètres d'origine
1992 Dodge Viper RT/10 roadster
Châssis n° 1B3BR65E4NV100281
Une des sportives les plus excitantes des temps modernes
Séduisant exemplaire des débuts, une des 285 construites
Moteur V10 8 litres, boîte manuelle à 6 rapports
Préservée dans des collections privées
Papiers d'immatriculation belge
État « comme figée dans le temps »
Qu'un grand constructeur puisse produire un concept car aussi excitant était déjà assez étonnant, mais la décision de Chrysler de mettre la Viper en production était carrément renversante. Inspirée comme le suggère son nom par la légendaire Cobra, l'étude de style de Tom Gale fit ses débuts en 1989 après des discussions entre le patron de Chrysler, Bob Lutz, et le créateur de la Cobra, Carroll Shelby, son apparition générant une avalanche de chèques de dépot. Sans aucun doute, une large part de l'attrait « retour au source » de la Viper venait de son unique argument de vente, un moteur V10 de 8 litres de cylindrée à la puissance exceptionnelle. Celui-ci venait de la nécessité d'avoir un moteur plus gros pour équiper le pickup Dodge Ram, le prototype étant créé en greffant simplement deux cylindres supplémentaires au V8 5,9 litres du Ram. Malgré sa technologie bas de gamme, le V10 culbuté mis au point par Lamborghini développait 400 ch et un couple brutal de 450lb/ft dès 3 600 tr/min, que la Viper de 1 480 kg transposait - via une boîte manuelle à six rapports en un 0 à 100 km/h en 4,7 secondes et une vitesse de pointe de 265 km/h.
Les premières Viper ne possèdaient pas les aides à la conduite telles que le contrôle de traction ou l'anti-blocage des freins. La voiture ne possédait pas non plus de poignées de porte extérieures ou de serrure et l'accès à bord se faisait en ouvrant la fermeture éclair de la fenêtre en vinyl pour attraper la poignée de porte intérieure (quand la capote était en place). L'air conditionné n'était pas non plus installé sur la voiture (l'option fut proposée plus tard sur les modèles 1994). Il n'y avait pas d'airbags pour réduire le poids. Le toit était en toile et les fenêtres étaient en vinyl et s'ouvraient et se fermaient par des fermetures éclair. Malgré ces lacunes, la voiture possédait quelques équipements pour la rendre tolérable en usage quotidien, comme des sièges réglables manuellement avec support lombaire, une radio stéréo AM/FM, une pendule et une moquette.
Seulement 285 de ces premières Viper furent construites et restent les plus recherchées de toutes les RT/10's
Luigi Cimarosti, un propriétaire d'écurie belge, fut le premier à discerner le potentiel et à développer une des premières RT/10 pour des courses d'endurance. À la propre surprise de son écurie elle remporta la classe GT1au Mans en 1994, amenant le quartier général de Chrysler à Detroit à développer une version compétition de la RT/10, la GTS-R.
À l'origine vendue au Canada à l'homme d'affaire Belgo/Canadien, ce précoce roadster Viper fut conservé inutilisé dans sa collection privée et avait parcouru à peine 100 kilomètres quand il fut vendu en 2018. La voiture se présente en effet dans un état « comme neuf » n'ayant parcouru que 120 kilomètres depuis qu'elle a quitté l'usine. Rouge avec intérieur en cuir gris, cette magnifique Viper est complète avec ses équipements originaux, tous ses livrets et ses outils. La voiture est vendue avec son immatriculation belge de collection et tous ses papiers d'origine. En vertu de son âge, la voiture est encore plus séduisante aux yeux des clients européens (qui n'ont plus à s'acquitter des onéreuses taxes) et des collectionneurs américains, une intéressant opportunité en vérité.
Aujourd'hui encore, 30 ans après sa présentation, la Viper parait étonnamment fraîche et moderne. Représentant une rare chance d'acquérir un exemplaire jamais utilisé de l'une des sportives les plus excitantes de ces dernières décennies, cette voiture exceptionnelle valorisera n'importe quelle collection privée.
Veuillez noter s'il vous plait que cette voiture ayant moins de 6 000 kilomètres au compteur, elle est considérée comme un moyen de transport neuf, selon la loi de l'Union européenne et sera soumise à la TVA si elle est vendue dans un pays de l'Union européenne autre que la Belgique. Le taux de la TVA française est de 20% de la prix d'adjudication.